Dans les coulisses de la folie du media day des Spurs et de la NBA House (4/7)

Dans les coulisses de la folie du media day des Spurs et de la NBA House (4/7)

Les enfants heureux de partager des ateliers avec l’effectif texan sur le parquet de l’Accor Arena, les oursons en guimauve offerts par la “Maison Spurs” au sein de la NBA House ou l’impressionnante foule de journalistes réunie pour observer trente minutes des entraînements de chaque franchise… Le choix est vaste pour raconter une veille de NBA Paris Game. Alors, comme le veut l’adage, commençons par le commencement.

Mercredi 22 janvier, 11h30 : le couloir de Bercy situé à côté de la salle presse – paraissant plus étroite que l’an passé – qui mène au terrain est rempli de journalistes. Tous patientent dans un brouhaha qui donne des sueurs froides à l’organisation en attendant le feu vert pour venir voir les dernières minutes de l’entraînement des San Antonio Spurs. Une seule consigne donnée par la NBA : rester en dehors du parquet. Pas de problème, ne nous comptions pas mettre un pied dans la raquette pour tenter de contrer Wembanyama en pleine action.

Dans les coulisses de la folie du media day des Spurs et de la NBA House (4/7)
Après sa séance et les sollicitations médiatiques, Victor Wembanyama a rejoint ses coéquipiers pour se prêter à un entraînement avec des enfants. © Teddy Perez

Une fois les portes ouvertes, tous les médias se placent aux abords du terrain, derrière les sièges du premier rang. Les caméras sont installées, les téléphones et appareils photos déjà dégainés. Par chance, les Spurs font du jeu tout terrain. Pour apercevoir Wemby au travail, chacun trouve son compte ou plutôt son angle. Et c’est bien ce cirque médiatique autour d’un seul joueur, qui a débuté dès son arrivée à Paris lundi, qui éblouit le plus.

Cela se confirmera deux heures plus tard, lorsque les Pacers prendront le relais sur le parquet de l’Accor Arena. Les journalistes seront encore bien là, mais il y aura – disons – un peu plus d’espace pour respirer. Pourtant, voir Tyrese Haliburton, Pascal Siakam ou encore Myles Turner en séance de tirs après avoir terminé leur échauffement avec un Freed From Desire en fond musical, ça valait aussi le détour.

kobe83

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