USA-Espagne : Une finale avant l'heure …
La Team USA, qui de sont côté applique et impose sont jeu simpliste, mais redoutablement efficace, basé sur le défis physique et le jeu en isolation. D’un autre côté, les Espagnols avec un basket technique, et fluide. Le commentaire d’avant match de Mike Kryzewski concernant la sélection Espagnol « …a beautiful Basket Ball… » Flatterie d’avant match ou pas. On ne peut rester qu’admiratif devant ce basket Ibériques.
Le niveau de culture basket des basketteurs américain reste toujours étonnant. Dans les interviews d’avant match, aucun membre de la sélection américaine n’a été capable de citer le nom de l’équipe championne du monde en 2002. Force est de constater que l’écart culturel atteins toujours des sommets.
Côté USA, on a peut voir un Kevin Durant totalement stratosphérique, et puis….beaucoup d’air autour. Derrick Rose, aura couru, couru, et remonter le ballon à plein poumon… C’était même à se demander, s’il n’oubliait pas pourquoi il courrait, tellement il cherchait désespérément à aller le plus vite possible. Il à perdus de façon flagrante son duel avec Ricky Rubio, qui lui à démontrer avec ses passes d’une grande justesse, encore une fois à tous ceux qui pouvait encore en douter, qu’il avait amplement le niveau NBA.
Les Américains ont très bien résister au rebond malgré leur déficit de taille, et ont énormément gêner dans ce secteur leur adversaire des deux côtés du terrain.
Même si elle l’emporte grâce à une grosse défense en fin de match, qui aura fait basculer la balance de leur côté. Cela ne reste malgré tous, qu’une victoire dans un match de préparation.
Au vu de la facilité avec laquelle les joueurs ibériques ont recoller au score en peut de temps en fin de partie. Cela laisse présager que la sélection Espagnol en a encore sous le pied et n’est qu’en phase de préparation.
